KYC : Création d’un compte client
GoldField entend par « client » un acheteur ou un vendeur d’un objet mis en vente. En effet, GoldField facture des commissions aussi bien au vendeur d’un objet qu’à l’acheteur de cet objet.
Phase de création d’un compte client
L’accès aux informations du site internet de GoldField implique la création d’un compte client.
Tout client provenant d’un des pays suivants ne pourra pas s’inscrire sur le site :
- Afghanistan
- Bosnia and Herzegovina
- Botswana
- Cambodia
- Ethiopia
- Ghana
- Guiana
- Iceland
- Irak
- Iran
- Laos
- Mongolia
- North Korea
- Pakistan
- Panama
- Sri Lanka
- Syria
- The Bahamas
- Trinidad and Tobago
- Tunisia
- Uganda
- Vanuatu
- Yemen
- Zimbabwe
KYC : Dépôt d’un objet
Lors du dépôt d’un objet, le vendeur doit compléter et signer le bordereau de dépôt.
Lors de l’encodage des objets liés au bordereau, GoldField procède à la vérification des objets mis en vente. Les bases de données liés aux objets volés sont interrogés (www.interpol.int, www.europeana.eu,...)
KYC : Participation d’un client à une vente
Seuls les clients validés peuvent demander en ligne un accès à une vente organisée.
Validation
Cette phase de validation implique la fourniture d’une copie recto/verso de la carte d’identité et/ou du passeport.
KYT : Validation d’une transaction
Toute transaction d’un montant supérieur à 15.000 EUROS doit être manuellement validée.
Nous réalisons une enquête sur la provenance des fonds. Toute transaction en provenance d’un pays qui n’a pas mis en place des procédures (ou ne respecte pas les procédures) AML/KYC sera rejetée.
Pays d’office non admis :
- Afghanistan
- Bosnia and Herzegovina
- Botswana
- Cambodia
- Ethiopia
- Ghana
- Guiana
- Iceland
- Irak
- Iran
- Laos
- Mongolia
- North Korea
- Pakistan
- Panama
- Sri Lanka
- Syria
- The Bahamas
- Trinidad and Tobago
- Tunisia
- Uganda
- Vanuatu
- Yemen
- Zimbabwe
Conservation des données :
L’ensemble des échanges et documents signés et/ou validés est conservé.
Veille juridique des normes AML/KYC :
Il est mis en place une veille juridique des normes AML/KYC